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Cooooooool...
Je viens d'être étonné.
Je suis passé devant l'un de mes hypers
et j'en ai profité pour faire quelques petites emplettes manusportables sans sac.
Une baguette, de la confiture, des nectarines, un petit munster et pour finir,
parce que je suis organisé
quand je parcours les rayons d'un de mes hypers
de façon à y rester le moins longtemps possible,
le rayon des surgelés
où je voulais me réapprovisionner en chocolats glacés caramel.
Je passe donc devant les bahuts qui donnent froid
en regardant négligemment leur contenu
quand soudain je freine des deux chaussures
et retourne sur mes pas
pour être sûr de ne pas avoir été victime d'une hallucination.
Et non, j'avais bien vu.
J'avais bien vu ça.
Des sachets de glaçons.
Des sachets de deux kilos d'eau gelée.
Je me suis alors interrogé.
Mais qui peut bien acheter ça ?
Vous allez me dire
des gens qui n'ont pas de bac à glaçons ou de congélateur
pour les produire eux-mêmes.
D'accord, eux aussi ont le droit de mettre des glaçons dans leurs boissons.
Mais s'ils achètent un sachet de deux kilos de glaçons,
ils vont le conserver comment s'ils n'ont pas de congélateur ?
Ils ne vont quand même pas croquer deux kilos de glaçons
dans les trois heures qui suivent leur retour chez eux ?
Je me demande quels arguments a employé le VRP
qui a réussi à convaincre un chef de rayon à référencer ce produit.
Ça doit être le même qui a déjà réussi
à vendre du sable aux bédouins.
Mais on ne peut rien dire sur leur qualité,
ils sont fabriqués avec de l'eau française,
c'est marqué sur le sachet.
Encore heureux qu'on n'importe pas des glaçons de Chine,
ou encore pire,
qu'on n'envoie pas de l'eau française en Chine
pour qu'ils nous fassent nos glaçons.
Il est également marqué au verso du sachet
la traduction de glaçon en différentes langues européennes
et même en arabe (enfin, je suppose que ça veut dire glaçon).
L'inventeur du glaçon en sachet doit donc songer à l'exporter.
Monsieur Montebourg va être content.
Encore une grande innovation française
que va nous envier l'étranger arrogant.
Pourvu qu'on ait pensé à breveter le glaçon en sachet...
Oui, c'est le prix du produit.
Ça fait cher le litre d'eau du robinet gelée.
Et sous le coup de l'émotion j'ai oublié d'acheter mes chocolats glacés caramel.
Va falloir que j'y retourne...
Il faut que les choses soient claires, dites et même redites.
Je ne ferai pas de conférence de presse.
Mais comme l'ont déjà fait Samir Nasri, Franck Ribéry et Éric Abidal,
je tiens à préciser que
je refuserai toute sélection éventuelle dans l'équipe de France de football.
Je profite également de l'occasion pour réaffirmer fermement que
je ne suis pas le père de l'enfant de Rachida Dati.
Voilà.
Non, mais.
Cui Cui.
J'ai trouvé une nouvelle station de radio internet
qui devrait bien plaire à certains occupants nuisibles de mon jadin.
Birdsong.fm
Live
Rien que des chants d'oiseaux 24/7.
On peut dorénavant laisser les volets fermés tout le temps.
On met l'ordi en route.
On regarde l'icone de la météo pour savoir le temps et la température qu'il fait dehors.
On écoute les chants des oiseaux jusqu'à satiété.
Elle est pas simple la vie ?
C'est Momo le canari qui va être content.
http://bludog.over-blog.com/article-apprenez-lui-a-parler-122487778.html
Partagez un coca-cola avec...
... avec vos meilleurs amis !
Pourtant c'est un pays où on ne s'y attend pas.
Je vous avais déjà parlé du centre commercial où je me rends parfois.
Il est situé à l'extrême limite nord de la Suisse,
tout près des frontières françaises et allemandes.
Oui, trois pays qui se touchent,
d'où le nom de Région des trois frontières.
On passe d'un pays à l'autre en un saut de puce.
Vous voyez que le centre commercial est construit dans un lieu stratégique
pour attirer le chaland étranger..
Énormément de circulation devant le centre, surtout le week-end.
Mais ce ne sont que des Suisses qui ne s'arrêtent pas
et continuent leur route vers l'Allemagne
(la route plus courte pour aller en France passe ailleurs)
où toutes les marchandises sont moins chères...
Moi j'ai gardé mes petites habitudes.
C'est là que je vais acheter mes lièvres de pâques.
Vous allez me dire que ce n'est pas la saison, et vous aurez raison.
Mais on m'avait commandé un gâteau à la carotte
qui n'est nulle part aussi bon que là-bas, dis.
Je m'y suis donc rendu pour l'acquérir en touriste consommateur.
Et c'est alors que j'ai vu cette boutique.
Vous devez déjà être surpris de voir que dans un pays comme la Suisse
on trouve des magasins aux vitrines sales.
Et encore moins des vitrines si sales
qu'il faut le marquer pour empêcher le client de se salir.
Le Suisse est prévenant pour ses voisins français,
mais là ils font quand même fort.
Ils feraient mieux de nettoyer leurs vitrines
plutôt que de prendre le risque de propager des microbes.
Bien sûr l'explication est toute différente.
La Suisse n'a ni Académie française, ni CSA, ni autre organisme
qui veille au bon usage du français, de l'allemand, de l'italien et du romanche,
les quatre langues officielles du pays.
Ils peuvent donc afficher toute inscription en langue étrangère
sans réprimande
et sans astérisque renvoyant à la traduction.
Et en ce moment c'est l'époque des soldes.
"Ausverkauf" en allemand.
Pas très sexy comme mot.
Mais "Sale" signifie "Soldes" en anglais.
Voilà qui donne tout de suite envie au Suisse polyglotte de rentrer dans la boutique.
Ecco.
Mais ne vous précipitez pas dans mon centre commercial aujourd'hui,
il est fermé,
car le 1er août nos voisins helvètes fêtent leur nation.
Alors chantons avec eux le Cantique suisse,
c'est-à-dire l'Hymne national.
(Vous aviez remarqué que la Suisse est le seul
pays au monde avec le Vatican
à avoir un drapeau national carré?)
Sur nos monts, quand le soleil
Annonce un brillant réveil,
Et prédit d'un plus beau jour le retour,
Les beautés de la patrie
Parlent à l'âme attendrie ;
Au ciel montent plus joyeux (bis)
Les accents d'un cœur pieux,
Les accents émus d'un cœur pieux.
1'17"
Ils ont eu des problèmes avec leur hymne, les Suisses.
Jusqu'en 1961 il s'appelait
"Ô monts indépendants".
Le problème c'est que la mélodie était alors la même que le "God save the Queen".
Oui, LE fameux "God save the Queen".
J'te dis pas la cacophonie lors des rencontres sportives Suisse-Angleterre...
Mais le Cantique suisse n'est que diversement apprécié par la population.
Selon un sondage, un tiers des habitants ne connaît pas du tout leur Marseillaise
et seul un faible pourcentage peut le chanter entièrement.
Je ne sais pas si c'est mieux en France...
Il fut donc par deux fois déjà décidé d'en changer.
Mais les oeuvres proposées ne plurent pas trop.
Leur troisième tentative a eu lieu de janvier à juin de cette année.
Un concours où tout le monde pouvait participer et proposer son oeuvre.
Le projet déclaré vainqueur sera soumis au Conseil fédéral en 2015.
Je ne sais pas pourquoi,
mais j'ai la vague impression qu'une fois de plus ils ne vont pas y arriver.
L'apéritif comme ici, dis.
Je vous avais parlé ici
de l'apéritif Allemand qui m'avait un peu déçu
et qui m'avait donné l'idée de l'apéritif Alsacien.
Alors chose promise, chose due, le test fut effectué.
Tout d'abord il faut le même découpe guirlande que dans l'autre test
et qui peut ressembler à ça.
Une fine lame garnie à un bout d'une sorte de vis en nylon
et à l'autre bout d'un trou pour y passer le doigt.
(Lemmy) CAUTION: Sharp blade
Répété 3 fois, ça doit être dangereux.
Et c'est dangereux.
On devrait toujours suivre les conseils
qu'on donne aux lecteurs.
Surtout si ça concerne LE doigt qui active le clavier.
Il y a un modèle plus intéressant avec une tige pour accueillir la guirlande.
Le lien m'a été envoyé par Pascal.
http://www.youtube.com/watch?v=m29U4gfGi9E
L'appareil 8,50 euros.
Avec le port 16,40 euros.
Vous faites commes vous voulez.
Je l'avais vu sur un marché pour 5 euros et j'avais trouvé ça cher...
Donc, mettons-nous au travail.
Pour essayer l'apéritif Alsacien,
il nous faut
- un concombre
- un appareil à guirlander
- du sel
- une bouteille de Crémant
D'abord couper le bout du concombre.
Ensuite insérer la vis en nylon
jusqu'à ce que la lame touche le concombre.
Là j'ai eu un petit problème.
Parce que contrairement au centre du radis qui est dur,
le centre du concombre où se trouvent les graines est mou.
Mais en faisant attention on y arrive quand même.
Puis visser en mettant le doigt dans le trou de la lame
et non pas sur la lame.
Contrairement au radis de mon jardin
mon concombre avait l'euronorme et était donc de forme bien régulière.
Et il ne glissait pas en main puisque je ne l'avais pas épluché.
Ne pas oublier de saler.
Si on regarde bien,
on voit les petits grains de sel.
Et voilà !
Je sais, je n'ai pas pris de flûte.
Mais les flûtes je les réserve pour les élections présidentielles.
Et je ne possède pas de coupe à champagne.
Parce qu'avec les coupes les bulles partent plus vite
et que ce sont des verres désagréables à tenir et à porter à la bouche.
Vous voulez mon avis sur la chose ?
Et bien je trouve l'apéritif Alsacien beaucoup plus sympathique que l'apéritif Allemand.
C'est plus fin, plus raffiné, plus doux, plus charmant, plus élégant, plus subtil.
Aussi bien le fruit consommé comme légume que la boisson.
En un mot, un apéritif typiquement français.
Et quand on sera fusionnés en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardennes,
il sera très facile d'adapter la boisson à la nouvelle région
et d'en faire un apéritif royal.
Encore une économie de faite avec la réforme territoriale
à laquelle on n'avait pas pensé.
Mais ont-ils vraiment pensé ?
Chaque matin.
La sédentarité tue autant que la cigarette
– Télématin ce matin –
Dans Télématin, chaque matin,
il y a une rubrique qui parle plus ou moins de la santé.
Ou plutôt de comment éviter de mourir en vivant.
Je m'étonne chaque matin d'être encore en vie.
Je vais finir par arrêter de regarder chaque matin.
Je serai l'autruche qui chaque matin mettra sa tête dans le sable.
Ce sera si bon.
Surtout le matin.
Le postier
Charles Bukowski
Ça a commencé par erreur.
C'étaient les fêtes de noël
et j'avais appris par le pochard en haut de la côte,
qui faisait le coup à chaque noël,
qu'ils embaucheraient carrément n'importe qui,
alors j'y suis allé et sans avoir le temps de réaliser
je me suis retrouvé avec une sacoche en cuir sur le dos
à cavaler comme bon me semblait.
Parlez d'un boulot, que je pensais.
Peinard !
Ils vous donnaient juste un ou deux pâtés de maison à faire
et si vous arriviez à finir,
le facteur titulaire vous en donnait un autre à distribuer,
ou alors vous pouviez rentrer et le chef vous en donnait un autre,
mais surtout vous preniez bien votre temps
pour fourrer ces cartes de noël dans les fentes.
Je crois que j'en étais à mon second jour comme intérimaire de noël
quand cette grosse bonne femme est sortie
et s'est mise à marcher avec moi pendant que je distribuais les lettres.
Ce que je veux dire par grosse
c'est qu'elle avait un gros cul, des gros nichons
et qu'elle était grosse à tous les endroits qu'il fallait.
Elle avait l'air un brin toquée
mais je continuais de regarder son corps et je m'en foutais.
Elle causait et causait et causait.
Ensuite elle l'a quand même sorti.
Son mari était officier sur une île lointaine et elle se faisait seule,
vous savez ce que c'est,
et elle habitait tout seule dans cette petite maison là-derrière.
" Quelle petite maison? " j'ai demandé.
Elle m'a écrit l'adresse sur un bout de papier.
" Moi aussi je me sens seul ", j'ai fait,
" je passerai ce soir et on causera ".
***
Ça vous donne envie de lire la suite ?
" Et c'est pas fini "
– La p'tite dame katgé de SFR –
" Parce que je n'ai pas réussi à éliminer le premier bien que ma préférence aille au second "
– B[LUDO]G –
Women
Charles Bukowski
J'avais cinquante ans
et n'avais pas couché avec une femme depuis quatre ans.
Je n'avais pas d'amies femmes
Je les regardais quand j'en croisais une dans la rue ou ailleurs,
mais je les regardais sans désir,
avec une impression de futilité.
Je me masturbais régulièrement,
mais l'idée d'entretenir une relation avec une femme
– même sans rapports sexuels –
dépassait mon imagination.
J'avais une petite fille de six ans, née hors mariage.
Elle vivait avec sa mère, à qui je versais une pension alimentaire.
Je m'étais marié des années auparavant, à trente-cinq ans.
Mon mariage avait duré deux ans et demi.
C'est ma femme qui avait demandé le divorce.
Je n'avais été amoureux qu'une seule fois.
Elle était morte d'une cirrhose.
Morte à quarante-huit ans
alors que j'en avais trente-huit.
Ma femme avait douze ans de moins que moi.
Je pense qu'elle aussi est morte maintenant,
mais je n'en suis pas sûr.
Pendant les six années qui ont suivi le divorce,
elle m'a écrit une longue lettre à chaque noël.
Je ne lui ai jamais répondu...
Je ne me souviens plus très bien
quand je vis Lydia Vance pour la première fois.
C'était il y a six ans environ,
je venais de plaquer mon boulot de postier,
que j'exerçais depuis douze ans,
pour essayer de devenir écrivain.
J'étais terrifié et buvais plus que jamais.
Je me battais avec mon premier roman.
Chaque nuit, en écrivant,
je descendais une demi bouteille de whisky
et deux packs de six bières.
Je fumais des cigares bon marché,
tapais à la machine,
picolais et écoutais de la musique classique à la radio jusqu'à l'aube.
Je m'étais fixé un objectif de dix pages par nuit,
mais je ne savais jamais avant le lendemain
combien de pages j'avais noircies.
Au petit matin,
je me levais de ma chaise,
allais vomir,
puis retournais dans la pièce de devant
pour compter les pages étalées sur le divan.
Je dépassais toujours les dix.
Parfois il y en avait dix-sept, dix-huit, treize ou vingt-cinq.
Naturellement, il fallait dégrossir ou même jeter le travail de chaque nuit.
J'ai écrit mon premier roman en vingt-et-une nuits.
***
Ça vous donne envie de lire la suite ?
L'apéritif comme là-bas, dis.
Dernièrement dans "Karambolage", l'émission d'Arte,
j'ai appris ce que faisaient nos voisins germains pour l'apéritif.
Là-bas c'est la bière.
Jusque-là c'est pas trop exotique,
mais de la bière accompagnée d'un gros radis dit de Munich,
radis coupé en guirlande avec un appareil prévu à cet effet.
Et qui ressemble à ça.
Une fine lame garnie à un bout d'une sorte de vis en nylon
et à l'autre bout d'un trou pour y passer le doigt.
(Lemmy) CAUTION: Sharp blade
Répété 3 fois, ça doit être dangereux.
Pourvu que les utilisateurs sachent tous lire.
Pour avoir le radis j'ai trouvé plus simple de le semer au jardin.
Je me suis surpris moi-même,
j'ai réussi à avoir de gros radis de Munich dans de la terre française.
Pour l'appareil à guirlander, je l'ai emprunté.
( – Je cherche un truc qui... et qui...
– Ah ouais, j'ai ça )
Donc pour essayer l'apéritif allemand,
il nous faut
- un gros radis de Munich
- un appareil à guirlander
- du sel
- une bière
D'abord éplucher le radis à l'économe.
Schlaf, Schlaf, Schlaf.
Ensuite insérer la vis en nylon
jusqu'à ce que la lame touche le radis.
Puis visser en mettant le doigt dans le trou de la lame.
Au début ça va bien,
mais une fois qu'on tient le radis qui est humide
par sa base qui est conique,
ça se complique.
Il glisse dans la main
et la découpe devient de plus en plus irrégulière.
Ne pas oublier de saler.
Si on regarde bien,
on voit les petits grains de sel.
Donc c'est un peu raté.
On ne peut pas toujours réussir.
Les grands cuisiniers ont aussi leurs jours sans.
Mais c'est du "fait maison".
Ceux qui préfèrent des cahouètes peuvent avoir des cahouètes.
Une idée m'est pourtant venue en dégustant mon test.
L'apéritif à l'alsacienne.
Un verre de crémant
avec un concombre débité en guirlande puis salé.
Là pas de problème de glisse avec le concombre si on l'épluche pas.
Et le goût du concombre est plus doux.
Je me suis mis en appétit.
Je vais tester.
Ah oui, petit détail.
J'ai maintenant mon propre appareil à guirlander.
État neuf,
dans son emballage d'origine (CAUTION: Sharp blade)
pour pas cher, sans marchander.
Le même jour je l'ai vu
chez un commerçant tenant un stand de bazar ménager,
exactement le même, même emballage.
3,50 euros.
Il avait également un modèle avec une sorte de tige à insérer dans la vis.
Mais je n'ai pas compris le mode d'emploi,
pas le temps, j'avais autre chose à faire.
5 euros.
Il y a de l'argent à se faire avec l'importation de chinoiseries.
Tic de langage.
Vous aussi il vous arrive d'écouter la radio ou la télévision ?
Ou même simplement des gens qui parlent autour de vous ?
Vous avez remarqué que depuis quelques semaines c'est comme Perrier, fou ?
Voilà.
Cette préposition est maintenant employée sans discernement.
Il y a des gens quii l'emploient à la fin de chaque affirmation,
d'autres encore à la fin de chaque phrase,
d'autres même après chaque virgule.
C'est énervaaaaaaaaaaaaaaannnnnnt !!!
On pourrait inventer un nouveau jeu.
Compter pendant les interventions de personnalités politiques, artistiques ou sportives
l'occurrence (ce n'est pas un gros mot) du voilà.
Mais il faudrait pour cela des nerfs solides.
Il m'est déjà arrivé souvent de couper le son
pendant la prestation d'un interviewé particulièrement prolixe en voilà.
Voilà, c'est tout.
Juste un coup de gueule.
J'étais un enfant |
Blog imprimé en deux couleurs pour réduire le nombre de polluants. |
Brève de comptoir |
Plan des toilettes au dos de ce blog. |
Ne pas recongeler. |
La définition de Michel Laclos. Haïssable. (3 lettres) La solution *** Survolez-moi avec la souris *** |
Garanti sans huile de palme. |
Aucun animal n'a été maltraité pendant la rédaction de ce blog. |
Janvier 2015 | ||||||||||
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