Rébus.


Il n'est point de bonne compagnie qui ne se quitte.



Je ne vais pas chercher
à écrire un texte pompeux, bouffi, guindé, ampoulé, précieux, prétentieux
alors que ça a déjà été dit simplement avec talent
en juste quelques mots bien choisis.
Fi donc du copyright,
je reprends cet excellent titre à mon compte
et vous l'adresse.



Et quelques petits cadeaux d'adieu.
Pour ne laisser personne en rade,
ocazou,
ma fameuse recette de lentilles

un bogosse aussi

et de la lecture pour rêver

Chacun devrait y trouver son bonheur.

Ne vous plaignez pas.
Vous avez échappé à ça.

Ce parfum

ou cette auto
Le seul constructeur qui reconnait que sa voiture c'est de la ...

Ce ne sont pas des fakes.
Vous pouvez les acheter.

Vous ne pouvez plus poster de commentaires.
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Si vous mettez une adresse email valide
(françois@elysee.fr n'est pas une adresse valide)
il y a une chance pour que vous receviez une réponse.

Et puis c'est pas aujourd'hui que je vais changer.
Comme il me reste encore un tout petit espace dans le blog
  pour pousser un dernier coup de gueule
avant de retourner ours,
j'en use.
Donc je conclurai cette aventure par un puissant

MORT AUX CONS !!!

 


... suivant le pointillé.


Vous avez certainement également déjà rencontré
dans des revues, des prospectus, plus rarement dans des livres,
des bons à découper qui après envoi vous permettent de recevoir
un catalogue, un échantillon
ou la visite d'un représentant.
Peut-être pas la visite d'un représentant.

Dans un livre que je viens d'acheter
il y a un de ces bons permettant d'être informé des nouvelles parutions.
J'aimerais bien être tenu au courant des nouvelles parutions
et si c'est sur papier plutôt que sur écran c'est encore mieux.
Donc je dois remplir ce bulletin
et après l'avoir rempli
le découper en suivant le pointillé.

Et là y'a un problème.


Je fais quoi, là ?
Je garde la bandelette de papier et je renvoie le livre ?
De toute façon je ne découpe jamais rien,
chez moi c'est toujours photocopie,
je ne vais pas abîmer mes papiers.
Et en plus je renvoie très rarement ce genre de bon.

Je vais continuer à me tenir au courant par internet.
Ça va reposer mes ciseaux.
Ils seront reconnaissants et me souriront tendrement.

 



Et vous, vous les sentez comment ces photos ?













Alors,
ça vous chatouille
ou ça vous gratouille
tout au fond de vous-même ?

Ce qui est rassurant
c'est qu'il y a des employés,
des patients,
ou des visiteurs
qui ont le sens de l'humour dans les cliniques psychiatriques.

 



Il y en a qui le restent toujours.


Aussi loin que je peux me souvenir,
depuis que mes oreilles ont eu la faculté d'écouter et mon cerveau de décrypter,
à chaque fois qu'une personne  commençait une phrase par
" Les jeunes d'aujourd'hui bla bla bla... "
pour critiquer un aspect de la jeunesse du moment où la phrase était prononcée,
je me disais en mon for intérieur
" Mais qu'est-ce que t'as contre moi, ça te dérange tant que ça vieux croûton ? ".

À chaque fois je me sentais agressé.
Aujourd'hui qu'il me faut une deuxième main pour compter les dizaines de mon âge
c'est encore toujours pareil.
Mais alors qu'autrefois lorsque j'entendais ces phrases elles m'étaient destinées
pour montrer une désapprobation,
aujourd'hui quand je les entends elles me sont également destinées,
mais dans le but que je les approuve.
Et je me dis encore toujours à chaque fois
" Mais qu'est-ce que t'as contre moi, ça te dérange tant que ça vieux croûton ? "
comme si on s'en prenait à moi.

C'est bizarre.
Je suis resté un grand gamin.


Ceci n'est pas un selfie.

Au cimetière.


En promenade au cimetière de Montmartre à Paris,
on peut par exemple rendre visite au Docteur Guy Pitchal
qui devait aimer la pipe et les illusions d'optique.
Faites donc un passage devant son monument funéraire tout en le regardant.


Amusant ce buste qui vous suit des yeux, non ?

Ce n'est pas comme certains qui ne pensent qu'à rester allongés au lit.


Je crois que ça me plairait assez comme monument funéraire,
ça donnerait de moi une image reposante.
Quoique ce serait un gâchis de surface funéraire
pour y déposer quelques cendres.
Mais pour moi rien n'est trop bien.


On peut également se rendre compte en étant observateur
que nos divinités ennemies sont des mortels comme les autres.


Mais ils ne sont quand même pas voisins de tombeaux.

Les cimetières parisiens sont pleins de surprises et de célébrités.
Il suffit d'y ouvrir l'oeil.
Ça vous changera des Champs-Élysées.

Certains n'aiment pas les cimetières,
sensations désagréables, ondes malsaines, etc.
Je réponds péremptoirement, bullshit !
Jamais dans un cimetière je ne me suis retourné pris d'un sentiment de crainte,
imaginant derrière moi l'arrivée de zombies ou autres créatures vermoulues.
Pourquoi pas de petits enfants quémandant des bonbons.

Pffff...
C'est n'importe quoi, bande de naïfs.
Ça n'arrive que dans les films.
Jamais je ne me retournerai, moi, non.
Ha, Ha, Ha.
On ne me la fait pas à moi.


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