Niet.


C'est à Gabrielle Wee que nous devons ces créations.
Ce ne sont pas de vrais préservatifs,
ils sont introuvables dans le commerce.
Elle s'est simplement amusée
à reproduire le logo de marques connues sur l'emballage.
Ainsi que leur slogan.
Et alors le slogan prend une toute autre dimension.














C'est à se demander si les créatifs
ne cherchent pas volontairement un slogan à double sens.

Ou alors j'ai peut-être l'esprit mal tourné.

 



Du moins l'un de ses employés zélés.


J'avais écrit à Bertrand Delanoë
au sujet d'une question que je me posais depuis lontemps.
http://bludog.over-blog.com/article-io-87131383.html

Voici le message
(ça en devient une lettre ouverte...)
que je lui avais envoyé le 25 octobre dernier:

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Bonjour Monsieur le Maire
Vous ne pourrez peut-être pas répondre à ma question,
mais certainement pourrez-vous la transmettre
aux services compétents.
Voilà.
Je ne suis qu'un provincial qui vient parfois à Paris
simplement parce que j'aime bien me promener
dans les différents arrondissements de cette ville.
Et au cours de mes promenades, depuis longtemps,
je suis intrigué par vos plaques de numérotation des immeubles.
Alors, simplement mes questions.
1) En tant qu'ancien typographe,
j'ai l'impression que vous ne vous servez jamais du chiffre 1 mais de la lettre i majuscule.
Est-ce le cas et si oui, pourquoi ?
2) La plupart de ces plaques semblent provenir du même fabricant.
Ces plaques sont-elles fournies par la municipalité
et peut-être même apposées par elle peut-être dans un souci d'harmonie ?
Voilà.
Ce sont deux questions bien futiles, mais elles m'intriguent depuis longtemps.
Merci d'avance pour votre réponse.
Bonne journée.
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En me relisant je me rends compte
que je ne devais pas encore être bien réveillé ce matin-là.
Avec un peu de chance ils n'étaient pas non plus bien réveillés à la Mairie de Paris.

Mais malgré tout...

J'ai obtenu une réponse !!!

Ça aura mis un mois,
mais je comprends très bien que les services compétents
aient eu autre chose à faire qu'à s'occuper de mon problème.

Voici donc la réponse.


Mais je continue à rester dubitatif.
Pour les plaques de rues récentes,
pas de doute, c'est bien un 1 (un).


Mais en ce qui concerne les plaques parisiennes de numérotation d'immeuble.
Je ne sais pas.



Si on les compare avec une plaque récente,
malgré le flou de la photo
(je n'en ai pas trouvé d'autre dans mes archives),



même un oeil non exercé doit voir la différence, non ?

Ce sont peut-être des plaques datant d'avant 1982 qui m'avaient intrigué.
Il doit quand même en rester
un très grand nombre apposées aux immeubles parisiens.
Ça doit vivre beaucoup plus de 30 ans une plaque émaillée.
Si un jour je repasse à Paris
je vais essayer de trouver des plaques plus récentes pour les étudier.

Quelle vie de dingue il mène ce B[LUDO]G...
Si un jour vous voyez un type se promener le nez en l'air à Paris
en observant des plaques de numérotation d'immeuble,
pas de doute, ce sera lui.

Mais je tiens quand même à remercier le Cabinet du Maire,
même s'ils ne verront jamais ce remerciement,
d'avoir pris la peine de me répondre.
C'est très sympa de leur part.

 



Si nos protecteurs savaient...


Hier je parlais de l'incrustation P.
http://bludog.over-blog.com/article-p-89572727.html
Mais il y a d'autres incrustations,
versions modernes et plus affinées du carré puis du rectangle blanc.
Les -10, -12, -16, -18.


Mises au point pour aider les parents,
surtout utiles aux enfants.
Les enfants savent maintenant
qu'ils ne doivent pas rater l'émission
quand elle est marquée moins quelque chose
et qu'ils peuvent sortir la Nintendo quand l'émission n'est pas signalisée.

Moi j'ai grandi dans un foyer sans télé
et c'est la cote de l'Office Catholique Français du Cinéma
affichée dans les églises
qui me faisait courir voir les films qu'elle déconseillait.
Plus tard, quand le foyer fut équipé,
c'est le courrier des lecteurs de Télépoche
où les gens se plaignaient de scènes osées dans les films
qui m'a permis de développer mes facultés de mémorisation.
Ben oui, je gardais le nom des films en question
bien au chaud au fond de ma mémoire
pour ne pas rater leur rediffusion.

Pour la radio les mises en garde
sont un peu plus compliquées à appliquer.
On ne peut quand même pas passer
un avertissement en surimpression pendant l'émission.
Ce qui fait que le CSA est dans ce cas-là obligé d'intervenir après coup.
Ce qu'il a fait en s'en prenant dernièrement à France Culture
pour avoir diffusé un matin de semaine
la lecture d'extraits d'oeuvres du Marquis de Sade.
L'organisme demande que dorénavant ce genre d'émission soit reléguée après 23 h.
C'est sûr que les matins de semaine
il devait y avoir plein de chastes oreilles d'enfants
qui écoutaient France Culture.
Et que les kids s'ils étaient au courant de ce qui s'y raconte
ne penseraient jamais à télécharger le podcast de l'émission diffusée le soir...
"Blanco", "Blanc correcteur", "Rembobinage de vidéos", toussa.

 


Que fais-tu ?


Ça se passe en Afrique du Sud.
La pub est jolie.

" Je fais mes devoirs à la bibliothèque "

" On a une soirée pyjama chez Angela "

" Je joue au golf avec des clients "

Le produit est un peu moins joli.

C'est payant.
J'ai essayé de comprendre combien ça coûtait.
Ce fut dur, je ne comprends déjà rien aux tarifs français,
alors des tarifs sud-africains libellés en Rand...
Il me semble que c'est 1,10 euro par mois plus 5 centimes par appel de 20 secondes.
À la portée de toutes les bourses.

Pour le moment il faut encore l'autorisation de la personne pistée.
Je me demande qui peut donner son autorisation pour être tracé ainsi.

Je suis sûr que plein de gens paieraient facilement le double
pour avoir également les coordonnées géographiques
de personnes non consentantes.

 



Le Flammekueche.


Et surtout pas la flammecuche comme on l'entend dire trop souvent.
Leçon de prononciation:
" Fl a (un son entre le a et le en) ma kua r (gutural) a ".
Voilà, très bien.
Ce n'est pas plus compliqué que ça à prononcer correctement.

Tout comme il n'est pas plus compliqué que ça de la faire correctement.
Souvent on entend
" C'est de la pâte à pain badigeonnée de crème et garnie d'oignons et de lardons ".
Non.

Le flammekueche est une recette toute simple,
mais il faut la suivre à la lettre pour que ce soit parfait.

Vous vous rappelez qu'on avait cuit une pizza la dernière fois ?
http://bludog.over-blog.com/article-la-cuisine-pour-les-gens-presses-et-faineants-12-87884175.html
Et que je vous avais dit de garder le tiers de la pâte pour notre prochaine recette ?


Bien sûr, il faut se servir de la pâte le même jour pour les deux recettes.
Pizza à midi, Flammekueche le soir.
Si vous avez fait les gourmands
et que vous avez utilisé toute la pâte à pain pour la pizza,
vous pouvez vous reporter à la recette de la pizza
http://bludog.over-blog.com/article-la-cuisine-pour-les-gens-presses-et-faineants-12-87884175.html (bis)
pour refaire de la pâte à pain en modifiant les proportions.


En plus de la pâte à pain il vous faudra
100g de fromage blanc,
100g de crème fraîche,
1 cuillère à soupe de farine,
1 cuillère à soupe d'huile de colza (ou autre huile au goût neutre),
deux oignons,
100g de lardons fumés,
du sel et du poivre.

D'abord on va étaler la pâte à pain aussi finement que possible
sur une plaque de four.

Ensuite on mélangera la farine avec le fromage blanc,
on rajoutera la crème fraîche,
puis une cuiller à soupe d'huile.
Il ne reste plus qu'à saler et poivrer
et à donner un dernier coup de fouet.
(Le Marquis de Sade serait-il le créateur de cette recette ?)


On étale alors cet appareil sur la pâte.


On y dissémine les oignons émincés
ainsi que les lardons fumés.
That's it !



Il ne reste plus qu'à enfourner la plaque
dans la partie basse du, mais oui, four préchauffé à 210°
et à l'y faire cuire 15 minutes.

Pendant la cuisson vous pourrez, comme pour la pizza,
nettoyer les cochonneries que vous aurez faites.
Surtout avec la farine.
Et à boire encore un amer bière bien mérité
et encore plus à sa place ici qu'avec la pizza.


On sort le flammekueche du four.
Tiens, il aurait pu cuire encore 2 ou 3 minutes.
Et on déguste en en prenant plein les narines
avant d'en prendre prendre plein les papilles.


Si vous avez encore un peu de mal avec la prononciation,
dites tarte fambée.
MAIS SURTOUT PAS FLAMMECUCHE !