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tost

Lundi 29 septembre 2008 1 29 /09 /Sep /2008 06:18



Mais c'est quoi cette horreur ?



C'est tout simplement un véhicule équipé pour que Google
puisse étoffer son catalogue de rues photographiées en France,
son fameux "Google Street View",
déjà expérimenté lors du dernier Tour de France.
Et en ce moment, il parcourt les rues de par chez moi.
Google photographie toutes les maisons du coin où j'habite.

Bientôt accessible du monde entier,
l'antre de B[LUDO]G !
 

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Dimanche 28 septembre 2008 7 28 /09 /Sep /2008 06:31



Et maintenant, on en fait quoi?



C'était il y a trois ans.
Il y a toujours une petite fenêtre ouverte au garage.
Deux oiseaux en avaient profité
pour squatter le contre-poids de la porte basculante.
Ça devait les amuser de monter et descendre quand j'ouvrais le garage.
Ou plutôt non.
Parce qu'assez rapidement je ne les ai plus vus.
Mais ils m'ont laissé en souvenir leur nid avec quatre petits oeufs.
Qui n'ont bien sûr jamais éclos.

Et maintenant, j'en fais quoi?
Je ne peux pas demander à Gilbert ou à Suzanne,
ils ne sont pas là aujourd'hui.

Mais ils seront de retour dimanche prochain
avec une histoire qui leur est arrivée...
Une histoire...
Qui est déjà prête et que j'aime beaucoup.

B[LUDO]G, le roi du teasing.
 

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Samedi 27 septembre 2008 6 27 /09 /Sep /2008 06:18



Cachez ces fesses que je ne saurais voir.



 Je vais vous raconter une belle histoire.
L'histoire du Schweissdissi (le type qui sue).

En 1905, nos voisins helvètes chargèrent un sculpteur, un certain Fritz Beer,
  de créer une statue, une allégorie du travail,
destinée à être érigée à l'entrée du nouveau tunnel ferroviaire du Simplon.
Mais cette oeuvre ne plut pas au commanditaire une fois l'oeuvre achevée.
4500 kg de fonte, 5,60 m de haut.
Que faire de ce tas de ferraille?

En 1906, à Mulhouse, la municipalité rêvait d'une oeuvre monumentale
pour décorer la place de la Réunion
où se trouve situé l'Hôtel de Ville.
Une grande fontaine de neuf mètres de diamètre y fut construite
et pour la surmonter on fit l'acquisition de cette statue orpheline
qui semblait être une bonne affaire.
Un homme en sueur, vêtu de son seul pagne,
le Schweissdissi (le type qui sue),
ainsi que le surnomma rapidement la population.

La municipalité était contente de son achat.
Elle fut donc installée place de la Réunion.
Mais, aïe, la gaffe;
un pagne cachait bien les attributs virils de notre bonhomme,
mais ses fesses étaient nues
et exposées aux pratiquants quittant le temple Saint-Étienne
également situé sur cette place.
D'où plaintes des utilisateurs du lieu de culte.

Qu'à cela ne tienne, le maire, conciliant,
la fit tourner d'un quart de tour...
Ce qui fit que la statue montra ses fesses aux élus et aux employés de l'Hôtel de Ville...


On pouvait la touner comme on voulait,
elle montrait toujours ses fesses à quelqu'un.



On décida donc trois ans plus tard de ne garder que la fontaine sur la place,
et la statue encombrante fut exilée au jardin du Tivoli.
On l'entoura de hauts bosquets sur la face arrière de façon à ne choquer personne.

L'histoire pourrait s'arrêter là,
mais... les soucis continuèrent pour le brave bonhomme.
En 1939 la guerre éclata
et les nazis déboulonnèrent le Schweissdissi pour en récupérer la fonte.
Heureusement pour le bonhomme,
Mulhouse n'avait pas fait une si bonne affaire qu'elle l'avait cru.
Car les tests effectués montrèrent que la fonte était de piètre qualité
et ne pourrait  être utilisée pour la fabrication d'armes.

On laissa donc le travailleur en paix.
Il séjourna alors jusqu'en 1950 dans des ateliers municipaux
avant d'être de sortie pour une foire-exposition.
Et il y remporta un tel succès qu'on le replaça au jardin du Tivoli,
où il se trouve encore aujourd'hui, toujours entouré de hauts bosquets.

L'histoire du Schweissdissi n'est pas encore terminée.
En 1990, à l'occasion d'une animation de la ville,
il retrouva sa place d'origine, sur la place.
Mais pour ne choquer personne,
ou pour contenter tout le monde
(o tempora, o mores),
le problème de l'orientation ne se posa pas.
  Le Schweissdissi fut placé sur un plateau tournant.


Ce n'est pas la Statue de la Liberté,
mais il a son charme le mâle.
 

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Vendredi 26 septembre 2008 5 26 /09 /Sep /2008 06:18



Ensemble, sauvons la planète.


Pour utiliser une ampoule ne consommant pas d'énergie, rien de plus simple.
Fixez pendant une vingtaine de secondes le centre de cette ampoule,
puis regardez une surface claire dans votre chambre,
mur ou plafond par exemple.


Et le miracle s'est accompli.
La lampe brille dans votre chambre.
Je tiens mon numéro de compte en banque à la disposition de monsieur Borloo.
 

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Jeudi 25 septembre 2008 4 25 /09 /Sep /2008 06:31



Faut s'y mettre.


Dans trois mois, jour pour jour, ce sera Noël.
Il n'est jamais trop tôt pour commencer.


La semaine dernière déjà,
j'ai vu un présentoir de livres pour enfants
"Jeux pour attendre Noël".

Et dans deux mois ce sera le moment de mettre le sapin en place.
C'était comment déjà que j'avais fait l'an dernier...
Je me rappelle avoir dit
qu'il fallait le faire dans l'ordre inverse où je l'avais fait.
Donc cette année
1) guirlandes lumineuses
2) guirlandes
3) boules

Je vais devenir un pro du sapin de Noël.
 

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Mercredi 24 septembre 2008 3 24 /09 /Sep /2008 06:31



Oui, c'est qui ?




Cette célébrité n'est pas restée toute sa vie un enfant.
Qui est-ce ?


La solution
*** Survolez-moi avec la souris ***

 
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Mardi 23 septembre 2008 2 23 /09 /Sep /2008 06:18



C'est l'autre.


Hier j'ai fait découper trois planches chez Casto (non, je n'ai pas de casque rose).
Comme chacun le sait, le prix se calcule en fonction de la surface du bois utilisé.
Le temps d'attente ne fut pas trop long et le travail fut exécuté avec célérité.
L'aimable employé me remit mes trois planches,
entra leurs dimensions dans son ordinateur
qui envoya une belle facture sur une imprimante.
Tellement belle la facture que ça devait devait être un fichier pdf.
10,16 euros.

Je passe à la caisse.
L'aimable caissière,
après avoir passé un coup de téléphone qui n'aboutit pas (heureusement)
et après avoir pris des nouvelles de sa collègue de travail qui venait de lui faire deux bises,
s'occupa de moi.
Remarquez, il n'y avait que cinq personnes dans la file.
Elle tip(p)e les données indiquées sur ma facture
ce qui génère mon ticket de caisse.
10,17 euros.

D'accord, un centime d'euro c'est pas grand chose,
0,0655957 de nos anciens nouveaux francs.
Je fais quand même la remarque à la caissière
qui paraît surprise que j'aie noté la différence.

Puis, elle me donne son explication
"C'est la faute de l'ordinateur".

De nos jours quand j'ai un problème,
c'est l'explication qu'on me donne neuf fois sur dix.
C'est facile rendre responsables de la faute
quelques grammes de silicium.
Ils ne vont pas se venger.
Mais j'attends avec impatience le jour où on me répondra
"C'est ma faute, je ne sais pas me servir de cet ordinateur"
ou bien
"C'est de la faute à cet imbécile de programmeur".

Qu'on arrête d'accuser ces gentilles petites machines
de tous les maux de la terre.
C'est l'interface entre le siège et le clavier qu'il faut le plus souvent remplacer.
 

Publié dans : Bavardages
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Lundi 22 septembre 2008 1 22 /09 /Sep /2008 06:18



Carambar a senti le vent tourner.



Ça faisait très longtemps que je n'avais plus vu une blague carambar en vrai.
L'entreprise a su s'adapter.

Agrandi ça donne ça:



Pour les yeux qui n'arrivent toujours pas à lire,
ça donne ça:

Vrai ou faux? Un homme pète en moyenne 16 fois par jour.
Réponse: Vrai. Et les femmes 4 fois par jour.

Pourquoi certains pets sentent mauvais?
Réponse: Parce qu'ils n'ont pas pris de douche avant de sortir des fesses.

Ils sont quand même encore un peu coincés chez Carambar.
Ils ont mis "fesses" et pas "trou du c...".

Titeuf Powa !
 

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Dimanche 21 septembre 2008 7 21 /09 /Sep /2008 06:31



Suzanne et Gilbert ont passé la soirée au cinéma.



Suzanne voulait voir "Mamma mia!".
Gilbert, qui est un époux conciliant, l'a donc emmenée au cinéma.
Après deux heures de film à la musique sirupeuse et au pop-corn du même métal,
ils rentrent goûter un repos bien mérité.

Alors qu'ils passent devant la porte de leur voisin d'étage,
Gilbert, fort perspicacement, dit à Suzanne d'un air égrillard:
"Suzanne, notre voisin n'est pas seul ce soir".
"Hé hé hé" lui répond sa douce moitié.

Comment Gilbert a-t-il su que "Hé hé hé" ?
 

La solution

*** Survolez-moi avec la souris ***

 
Publié dans : Cassetêtages
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Samedi 20 septembre 2008 6 20 /09 /Sep /2008 06:31



Vous avez raté votre vie?
Avec nous vous réussirez votre mort!



Un petit bijou d'humour noir signé Jean Teulé.
Peu de pages, des chapitres très courts, c'est écrit assez gros, ça se lit sans faim.
Et ça ne coûte que cinq euros en édition de poche.


Un magasin qui ne vend que des articles pour suicides
depuis des générations.
La boutique se trouve située rue Bérégovoy.

Un petit extrait du chapitre 7.

*

– Ce serait...
Ce serait comme une fête foraine pour les gens qui veulent en finir avec la vie.
Au stand de tir, les clients paieraient, mais pour être la cible.
Mishima, écoutant Vincent, s'assied sur le lit:
– Mon fils est un génie.
– Ce serait un parc d'attractions si fatal.
Dans les allées des larmes ruisselleraient, douces,
le long des joues de la clientèle,
parmi les odeurs de fumée des frites et des champignons vénéneux qu'on y vendrait.
" Amanites phalloïdes ! ... " crie Vincent dans la chambre
et Lucrèce et Marilyn sont aussi dans l'ambiance,
sentent l'odeur des frites...
– Des orgues limonaires moudraient des chansons tristes.
Des manèges à éjection
propulseraient les gens comme des lance-pierres au-dessus de la ville.
Il y aurait une très haute palissade
d'où les amoureux se jetteraient, ainsi que d'une falaise,
en se tenant par la main.
Marilyn croise et frotte les siennes.
– Des rires sanglotés dans le fracas des roues d'un train fantôme
fileraient à l'intérieur d'un faux château gothique
plein de pièges cocasses et tous mortels:
électrocution, noyade, des herses aiguisées s'abattraient dans les dos.
Les amis ou parents venus accompagner un être accablé
repartiraient avec une petite boîte contenant les cendres du désespéré
car il y aurait au bout du manège un crématorium
où tomberaient les corps l'un après l'autre.
– Il est formidable, dit le père.
– Papa en alimenterait la chaudière. Maman vendrait les tickets...
– Et moi, à quoi je servirais? demande Marilyn. Où serait ma place?
...

– Dans les allées, des employées déguisées en vilaines sorcières
proposeraient des pommes d'amour empoisonnées.
" Tenez, mademoiselle. Mangez cette pomme empoisonnée... ",
puis elles iraient voir quelqu'un d'autre.
– Je pourrais faire ça, moi, suggère Marylin. Je suis moche.
Le fils aîné expose tous ses projets:
les cabines de la Grande Roue dont le plancher se déroberait à vingt-huit mètres de hauteur
et le Grand Huit incomplet dont les rails ascendants, après une descente vertigineuse,
s'arrêteraient brusquement en plein élan.
Il exhibe la maquette qu'il a tout à l'heure démolie d'un coup de poing
tandis que son petit frère, quittant sa chambre,
passe devant la porte ouverte de celle de Vincent
en fredonnant et claquant ses doigts en rythme:
– Don't worry, be happy!...
Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes se retourne et crispe ses poings vers lui.
Les doigts à castagnettes d'Alan sont pour elle et son mari comme un abîme.

*

Puis le roman prend une autre direction.
Le plus jeune fils,
enfant non désiré mais né de la conscience professionelle des commerçants,
(ils avaient testé un préservatif troué permettant d'attraper des MST),
va changer la direction du commerce.

Un extrait du chapitre 32 qui révèle un Teulé plus mélancolique.

*

Quand elle était petite fille – quatre ans, cinq ans –
sa mère lui demandait de l'attendre après la classe,
assise sur un banc du préau de l'école maternelle,
et lui promettait que, si elle était très sage, elle ferait un tour de balançoire.
Sa mère était très souvent en retard, parfois ne venait pas,
alors la directrice de l'école disait à l'enfant de rentrer toute seule chez elle.
Le père, malgré ses promesses, ne venait jamais.
Et souvent, le soir, la petite fille attendait sagement, tellement sagement,
que sa mère vienne et le tour de balançoire.
En a-t-elle jamais fait des tours de balançoire?
Lucrèce ne s'en souvient pas, elle ne se rappelle que l'attente,
la fantastique attente de sa mère qui la regarderait faire un tour de balançoire.
Ses petites mains potelées, aux extrémités des doigts relevés
posées à plat sur les cuisses et le buste dressé, pas du tout avachi,
les yeux grands ouverts, elle regardait droit devant elle.
Elle regardait tout droit devant elle mais ne voyait rien!
Elle n'était que sage, tellement sage comme une image
que sa mère viendrait forcément, tellement elle était sage!
Elle s'interdisait tout mouvement, pas une parole, pas un souffle de soupir.
Elle attendait si sagement que sa mère ne pouvait que venir.
Si le bout de son nez la démangeait
ou qu'une socquette avait glissé sur sa cheville, elle restait immobile.
Maman viendrait.
Elle dissolvait en elle-même,
aspirait la démangeaison au bout du nez,
la fraîcheur au mollet de la socquette glissée.
Elle avait appris à intégrer ça.
Elle savait se rassembler, apprenait à devenir zen.
Quand plus tard elle verra des reportages sur les anciens bonzes,
elle comprendra qu'à quatre ans déjà
elle savait se placer dans le même état mental.
Elle a gardé de sa petite enfance la faculté de cette absence,
cette manière de soudain sembler regarder très loin devant elle.
C'est un grand trou dans sa tête
comme lorsqu'elle attendait sa mère sur un banc du préau de l'école.
Elle s'y minéralisait, ne sentait plus rien de son corps,
pourrait jurer qu'elle ne respirait plus.
Lorsque la mère arrivait, sa fille n'était plus en vie.

*

On a l'impression au bout d'un moment que Teulé n'a pas osé aller au fond de son trip.
Jusqu'aux quatre mots de la dernière phrase du roman...
 

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*** Survolez-moi avec la souris ***

 
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MF998MF999

Masculin féminin
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(1966)


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