Il ne devait pas savoir. Ni avoir les moyens.
Dommage, je serais probablement l'hérititier de l'abonnement.
Quoiqu'aujourd'hui le magazine n'est plus intéressant.
Sa belle période, 1954-1979, les 25 premières années, après, bof.
Une revue bien réalisée, avec une belle typographie (c'est pas eux qui auraient utilisé la comic sans ms), une mise en page léchée qui reste belle avec l'âge ce qui est un signe de grande qualité, une référence pour les apprentis graphistes. Je me demande d'ailleurs comment ils faisaient avec les moyens techniques limités de l'époque.
Des dessins d'humour drôles, des textes probablement intéressants mais que je ne comprenais pas, les textes étaient joliment illustrés, de belles photos de personnalités artistiques et politiques, des couvertures délicieuses ne demandant qu'à être encadrées, des objets technologiques pour faire rêver les hommes.
Et puis, ne soyons pas hypocrite, il y avait les filles aussi. Mais comme je viens de le dire, pas que. Uniquement avec les filles "Playboy" n'aurait jamais eu l'aura qu'il a eu. Rien à voir avec les revues sexy concurrentes. Seul "Lui" pouvait lui tenir tête.
Le magazine était beau à regarder, même sans en comprendre le moindre mot.

Tu me déçois profondément.
Normalement tu ne devrais rien imaginer quand je parle de mise en page léchée.

On peut mieux se lâcher dans les commentaires que dans les articles, je trouve.
...
Mais qu'est-ce qu'elle va encore comprendre, là...

J'ai également du mal à suivre les commentaires sur eklablog, je ne sais pas pourquoi. Parce qu'ils se suivent et ne sont pas etnrecoupés par des réponses? Parce que toutes les réponses se retrouvent dans un seul champ? Je ne sais pas.
T'as bien visé, c'est bien 20 euros. Je le sais parce que je me documentais un peu sur le livre avant de me lancer dans l'article.
Avant de continuer, je tiens à préciser que je ne l'achèterai pas. De toute façon j'achète très très rarement des livres politiques. Et là depuis trois jours j'ai vu et entendu plein de fois les cinq phrases essentielles du livre à la radio, la télé, et sur internet.
Mais je voulais plutôt m'en prendre aux libraires qui ne vendaient pas le livre, ou alors en fronçant le nez.
Ces libraires passent le reste du temps à se plaindre des méchants vendeurs sur internet, parce que eux, les libraires, sont défenseurs de tous livres et les autres non. Mon oeil, oui. Certains accueillent maintenant leurs visiteurs (je ne peux pas dire clients, ces visiteurs ne reviendront certainement plus chez eux) en leux expliquant qu'ils ne doivent pas acheter ce livre, mais qu'ils doivent acheter autre chose. Qu'ils conseillent un client quand celui-ci le demande, oui, mais quand le client veut un certain livre qu'ils le lui vendent. Surtout que ces clients ne veulent pas lire autre chose en ce moment, mais juste CE livre là dont ils ont entendu cinq phrases hameçonneuses. Ils ne vont certainement pas se lancer dans l'intégrale de Proust s'ils veulent lire la vengeance de Valérie. Qu'ils leur vendent ce bouquin, et peut-être qu'un jour ils reviendront. Mais ce n'est pas en se montrant supérieurs qu'ils vont en faire des lecteurs fidèles.
Alors plutôt que d'aller chez un de ces libraires, je préfère rester fidèle à Amazon où je trouve ce que je veux et où on ne me fait pas la morale. Et où on me donne également des conseils que je ne demande même pas en rapport au livre que je viens de regarder.
C'est quand même dingue que les libraires grandes-gueules moi je suis pour la liberté d'expression n'arrivent pas à faire ce que font les ordinateurs d'Amazon.
Bon, l'article est déjà à moitié écrit.  :-)

Et l'article est publié.
Peut-être grâce à ton shcrfgfff.  :-)
PS: Les vide-greniers sont en général très peu chers, les foires aux livres pas chères. Mais bien sûr, on ne trouve pas forcémént LE titre qu'on cherche.