Les publicités laides qui apparaissent
sont dorénavant imposées par over-blog.
Les publicités laides qui apparaissent
sont dorénavant imposées par over-blog.
On y rencontre même beaucoup d'argent sale.
Pire que l'eau en bouteille.
Une étude qui vient d'être publiée révèle un fait troublant.
Un billet de banque suisse
(vous savez, le pays de la propreté et du chocolat),
contient en moyenne 32400 bactéries.
Oui, vous avez bien lu.
32400
C'est effrayant.
Ce qui l'est encore plus,
c'est que la moyenne du degré de saleté des billets de banque européens
est de 26000 bactéries.
6400 bactéries de moins qu'un billet de banque venant du pays de la propreté.
Et un billet de banque fraîchement imprimé chez nos voisins helvètes
véhicule déjà 2400 bactéries.
Ça doit être sale une imprimerie suisse.
Les ouvriers devraient y porter des gants et des bonnets.
Désireux d'éviter les maladies,
je vais aller dépenser sur le champ tout mon argent liquide.
Non sans avoir reniflé les billets avant de les remettre aux commerçants.
J'ai déjà lu qu'on y trouvait également des traces de cocaïne.
Pour être complètement honnête,
il faut quand même préciser que le commanditaire de cette enquête
est... Mastercard.
Ah, oui.
Là on comprend un peu mieux.
Comme toujours, bien sûr,
B[LUDO]G a une solution simple et même économique à ce problème.
Il suffit d'imprimer des billets de banque plus petits.
Le billet 10 fois plus petit aura 10 fois moins de bactéries..
Hé.
Il suffisait d'y penser et j'ai.
Mais comme d'habitude on ne m'écoute pas.
J'ai pitonné.
Quand je suis assis devant ma télé,
mon plus grand plaisir est de pitonner.
Mes visiteurs canadiens comprendront mon langage.
Je pitonne toutes les chaînes,
quelles que soient la langue, le genre d'émission, la qualité de l'image ou du son.
À propos de son, il y a quelques chaînes qui lorsqu'on y accède
provoquent le même effet qu'un défibrilateur sur un paralytique.
Je disais donc que dernièrement je pitonnais.
Au bout d'un moment je tombe sur une chaîne indienne
destinée à leur émigrés habitant la perfide Albion.
Et j'ai vu ça.
Réalisation
Jhoom Barabar Jhoom
(Si la vidéo bloque, pause, attendre une minute sur la page, puis relancer la vidéo)
Je n'ai pas regretté mon pitonnage.
Je trouve ça très joli, coloré, frais, exotique.
Après chaque visionnage, l'air me trotte dans la tête.
Mon esprit chante, sautille, remue des fesses.
Comme ça:
Akhiyon ke neele, sheesh mahal mein
Soniye ni soniye
Baijaa ni baijaa
Do din jeena hai, ek din rehjaa
Tere binaa jeene bhi kya...
Oas mein gholi, mint ki goli
Niri khushboo beeba
Kanni sey kaate, maanjhe ki dori
kaategi tu beeba
Auna pauna hi sahi, dil ka konna ki sahi
Lauta de mera Ticket to Hollywood
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Oas mein gholi, mint ki goli
Niri khushboo beeba
Kanni sey kaate, maanjhe ki dori
kaategi tu beeba
Zameen se do inch oopar
Hawa pe chalti hai tu
Kahin pairon ka nishan jo padey to jhukoon
Sheher ke uss mod par
Jahaan se tu paas ho
Kahe main zindagi bhar wahin pe rukoon
No no monsieur, no no
Itna simple nahin
Chal dafaa ho kahin
O thhengey se tera Ticket to Hollywood
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
[Rap]
Gimme gimme gimme, gimme my ticket
Gimme gimme, gimme my ticket
No no no no no no no, monsieur no no
No no no no no no, monsieur no no
My Ticket to Hollywood
No Ticket to Hollywood
My Ticket to Hollywood
No Ticket to Hollywood
Akhiyon ke neele, sheesh mahal mein
Soniye ni soniye
Baijaa ni baijaa
Do din jeena hai, ek din rehjaa
Tere binaa jeene bhi kya...
Yeh ziddi hai sakht hai
Bada hi kambakht hai
Yeh dil jab aa jaye to zidd se hat ta nahin
Tu rani hai France ki
Main baansuri baans ki
Hamaari society mein yeh chalta nahin
No no monsieur, no no
Itna simple nahin
Chal dafaa ho kahin
O lauta de mera Ticket to Hollywood
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Ticket to Hollywood, arre Ticket to Hollywood,
lauta de
Oas mein gholi, mint ki goli
Niri khushboo beeba
Kanni sey kaate, maanjhe ki dori
kaategi tu beeba
Lauta de...
(Qui a dit tu fais juste "Ticket to Hollywood La La La" ?)
François, pas toi, l'autre, ce clip est un remède contre la morosité ambiante.
Tu devrais le faire diffuser deux fois par jour sur France 2.
Tu prendrais illico 10 points dans les sondages.
Ça sent le safran, la cardamome, le curcuma et le curry sur les Champs-Élysées.
Ça change du pipi de touriste.
Paris est propre et sent bon quand ce sont les Indiens qui la filment.
Tout comme il manquait une pyramide dans la cour Napoléon du Louvre,
on se rend compte maintenant qu'il y manque,
ainsi que sur l'esplanade du Trocadéro,
des danseurs indiens.
Je me suis quand même fait la réflexion
qu'ils ont dû tourner ça aux alentours du 15 août.
Sans ça j'te dis pas les embouteillages que les prises de vue auraient provoqué.
(C'est bizarre, je n'arrive pas à écrire "provoqués").
Le collectionneur de collections.
Je supporte mal qu'on jette, qu'on détruise.
Si bien qu'en plus des trésors arrachés aux décharges ou chinés aux puces,
nous vivons parmi tous les objets dont je refuse de me défaire.
Je déteste que l'on jette mes vêtements usagés,
mes bouts de crayons, leurs entaillures,
les papiers, les bouteilles vides.
Quant aux chaussures, pour les mettre au panier,
il faudrait me les faucher quasiment aux pieds
ou pendant mon sommeil.
J'ai peu de paires neuves utilisables à la fois;
les autres, les vieilles chaussures, sont dans des sacs.
Elles attendent.
De temps en temps,
Marinette a une crise de déblaiement.
Il est vrai que, parfois, on a du mal à entrer dans la maison.
Elle "étouffe", elle "n'en peut plus".
Elle décide alors de faire des cartons
qu'il faut déposer aux ordures sans les ouvrir.
Des boîtes kamikazes, des trésors sacrifiés...
J'ai le souvenir d'une tournée à la décharge publique avec un de mes frères.
Nous avions déversé un camion de caisses.
Mais sur place nous en avions trouvé presque autant.
Ce n'était pas d'aussi bonne qualité que ce que nous avions apporté,
mais c'était autre chose.
En fouillassant,
quel choc aussi de voir le contenu de mes propres cartons
éventrés dans leur chute !
J'ai eu de la peine, j'ai senti qu'on se débarrassait de moi.
Un camion à la décharge, un carton de vieilles pompes aux ordures,
c'est fatalement une personne qu'on assassine un peu.
C'est toute une vie mise au rancart,
tout un itinéraire de chemins et de routes parcourus et de piétinement.
Avec ses orthopèdes encore tout chauds,
ses prothèses, ses chaussures, ses vestes, ses draps,
c'est une part de ses rêves, de ses fantasmes.
de ses pieds, de ses têtes, de ses couilles
qui va rouler tout en vrac sur la cascade.
Avec mon frère, finalement,
on a tout remis dans le camion,
tout ramené à la maison,
avec, en plus, tout le bazar qu'on avait récupéré sur place.
L'humanité se divise en deux catégories:
les jeteurs et les gardeurs.
C'est de famille.
Mes parents étaient gardeurs;
on mettait tout à la remise, on y élevait des lapins qui bouffaient tout.
Ils ont même bouffé les pneus de la voiture.
C'était la guerre, et, pendant la guerre,
les gardeurs se sont trouvés avantagés.
J'ai connu une vieille dame qui conservait tout
et mettait ses trésors dans des boîtes à chaussures.
Elle avait notamment accumulé sa vie entière
des morceaux de ficelle inutilisables
et avait écrit sur le couvercle:
Petits bouts de ficelle ne pouvant plus servir à rien.
Henri Cueco
***
La dictée est un peu longue.
On va dire que c'est une dictée de 6ème.
Mais qu'est-ce que je me sens en phase avec ce texte.
Pas dans tous ses détails, mais dans l'esprit du texte.
Quoique je me reconnaisse aussi dans beaucoup de détails.
Il m'arrive aussi, en allant à la déchetterie,
pour jeter de vieux prospectus ou des bouteilles vides pas intéressantes
– qu'est-ce que vous alliez imaginer –,
de ramener des vieilleries récupérées dans les bennes.
Et de rentrer chez moi triste
parce que des trésors étaient irrécupérables au fond de la benne.
Je n'ai encore jamais osé sauter dans la benne.
Faut dire que chez nous les bennes sont profondes.
Sans échelle on n'en ressort pas.
Vous l'aurez compris, je suis un gardeur.
Qui malheureusement a engendré une jeteuse.
Je me fais donc du souci pour tous les trésors amassés pendant une vie entière.
Elle aussi doit se faire du souci,
mais elle ça doit être pour le futur rangement
des inepties amassées par son géniteur pendant une vie entière.
Ce qui me remonte le moral, c'est que, malheureusement pour elle,
elle a engendré un petit gardeur.
Ça se remarque tout de suite un petit gardeur.
Cette passion doit sauter une génération.
Il ne me reste plus qu'à espérer ne pas partir
avant que le petit gardeur ait son mot à dire.
Et qu'il ait alors de grands volumes pour tout stocker.
Traduction.
Vous avez déjà essayé le traducteur de Google ?
Dommage, le résultat réserve parfois quelques jolies surprises.
http://translate.google.fr/
?hl=fr&tab=wT#en/fr/he%20installs%20windows%207%20professional%20english
C'est curieux.
Si on essaie le sens français -> anglais ça ne marche pas.
God save la couine.
T'as pas vu le chien ?
Faudra faire gaffe en passant l'aspirateur.
Faut rechercher les retraités qui eux, savaient encore.
Peut-être qu'avec un contrat de génération...
Loftum Vaticanum.
C'est un livre de Jean-Loup Chiflet
publié fort à-propos en 2005
lors d'un précédent conclave.
C'est une sorte de guide de survie,
un vade-mecum qui répertorie entre autres
des phrases de conversation courante en latin
qu'on peut difficilement imaginer échangées
par les hommes enloftés tout de rouge vêtus.
Et pourtant ce sont des pécheurs comme les autres.
Moi ça m'a fait rire.
Mais je suis bon public dès qu'on tape sur la religion.
Bien qu'ici ce ne soit pas méchant du tout
mais seulement amusant.
Les grenouilles sorties de leur bénitier peuvent continuer leur lecture.
Extraits.
– Hist est locus, intrate ! Festinate, clauditur.
– C'est ici, entrez ! Dépêchez-vous, on ferme.
– Ante omnia, nolite clavem amittere, sin minus exire non fieri possit.
– Surtout ne perdez pas la clé, on pourrait plus sortir.
– Salvete !
– Bonjour !
– Avete socii !
– Salut les copains !
– Tu quoque jam nunc abire cupis ?
– Toi aussi tu as déjà envie de partir ?
– Cupio quia canis taurinus meus solus est.
– Oui parce que mon bouledogue est tout seul.
– Ego pariter cupio quia orbae sunt domesticae arbores.
– Moi, c'est mes plantes vertes.
– Mihi deerit Stell'Ac.
– Ce qui va me manquer c'est la Star'Ac'.
– Mini Pretium Justum,quod in deliciis habeo.
– Moi c'est le Juste Prix, j'adore ça.
– Estne lavatoria machina ?
– Y a t-il une machine à laver ?
– Sorbitionisne reliquum est ?
– Il reste de la soupe ?
– Quis male aquam exhausit e receptaculo ?
– Qui a mal tiré la chasse d'eau ?
– Et quid de sacerdotum conubio ?
– Et le mariage des prêtres ?
– Cur non ? Non intercedo si inter se amant !
– Pourquoi pas ? Je ne suis pas contre s'ils s'aiment !
– Quis mihi strata intricavit ?
– Qui a fait mon lit en portefeuille ?
– Ubi dentes falsos meos posui ?
– Où puis-je poser mon dentier ?
– Putasne eum esse vermem anuli ?
– Croyez-vous que c'est le ver solitaire ?
– Habesne remedium halitu malo ?
– Qu'est ce que vous avez contre la mauvaise haleine ?
– Vae mihi ! Num ampuntandus est ?
– Mon dieu ! Il va falloir amputer ?
– Num mihi dolebit hoc ?
– Ça ne va pas faire mal ?
– Ubi est olla camerae ?
– Où avez-vous mis le pot de chambre ?
– Dixi me aegrotare, sed ecquis auscultaret.
– J'ai dit que j'étais malade, mais tout le monde s'en fout.
– Exire volo, me exire sinete !
– Je veux sortir, laissez-moi sortir !
***
Dire que plus le temps passe,
moins il y aura de gens qui sauront ce que fut "Loft Story".
Ça fout la trouille.
" Il faut virer Kenza ! "
" Kimyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy !!! "
Ouf d'.
Journée de la femme.
L'oiseau est un homme comme un autre.
C'est peut-être pour ça.
C'est peut-être pour ça que je n'aimais pas le café de
ma maman.
C'est peut-être pour ça que je n'aime que le café fait
avec du café.
C'est peut-être pour ça que je n'aime pas les cocottes-minute.
C'est peut-être pour ça que j'aime les objets technologiques.
C'est peut-être pour ça que j'aime les
fleurs.
Aaaaaaaaaaaatchoum !!!
Pas le mimosa.
C'est peut-être pour ça que j'aime la bière.
C'est peut-être pour ça que j'aime les meubles de bureau.
C'est peut-être pour ça que j'aime les
Sofitel.
(Je ne pense pas être le seul).
C'est peut-être pour ça que j'aime l'eau
gazeuse.
C'est peut-être pour ça que j'aime les lampes
Claude.
C'est peut-être pour ça que j'aime les p...
pulls.
C'est peut-être pour ça que j'aime les
...
Rââââââhhhh...
C'est l'esprit du malin qui guide mes doigts sur le clavier !!!
Arrière, démon !
Mais il faut reconnaître qu'autrefois
les rapports hommes/femmes étaient beaucoup plus simples.
Un jour, dieu demanda...
Il y a eu l'époque
des « monsieur et madame ont un fils… »,
des « ta mère elle est tellement que… »
puis des « Chuck Norris ».
La nouvelle tendance de la blague nulle
qui vient d'envahir les cours de récré
s’appelle « Un jour, dieu demanda… »
Le principe du jeu de mots ras des pâquerettes pitoyable puissance 5.
Heureusement pour les allergiques à la cour de récré,
ce petit livre pas cher en rassemble 400.
Et pour les allergiques aux petits livres pas chers,
il y a B[LUDO]G.
Extraits pour qu'on comprenne bien de quoi je parle.
Un jour, dieu demanda à Nathalie de compter les moutons et depuis Nathalie Baye
Un jour, dieu demanda à Casto d'avancer son bateau et Castorama
Un jour, dieu demanda à Michel de ne plus se raser avant de se coucher et depuis Michel Piccoli
Un jour, dieu demanda à Napoléon de déménager et Napoléon trouva un Bonaparte
Un jour, dieu demanda à Clara Morgane de savoir ça et Clara suça
Un jour, dieu demanda à Coca d'adhérer et Coca-Cola
Un jour, dieu demanda à Woo qu’est-ce qui sortait de sa bouche et Woody Allen
Un jour, dieu demanda à Mono de croire en lui et depuis Monoprix
Un jour, dieu demanda à Roselyne de couvrir la piscine et depuis Roselyne Bachelot
Un jour, dieu demanda à Miles de démonter son armoire et depuis Miles Davis
Un jour, dieu demanda à Hugo de travailler et depuis Hugo Boss
Un jour, dieu demanda à Nafissatou de répondre au téléphone et depuis Nafissatou Dialo
Un jour, dieu demanda à David de surveiller et David Guetta
Un jour, dieu demanda qu'on mette Franklin en prison alors on Aretha Franklin
Un jour, dieu demanda à Bernard Henry s’il les voyait et Bernard Henry Levy
Un jour, dieu demanda à Lionel Jos un tableau et depuis Lionel Jospin
Un jour, dieu demanda à Bob le nom d’un animal et Bob Dylan
Un jour, dieu demanda à Kiri de nouveaux habits et depuis Kirikou
Un jour, dieu demanda à Pav d’entrer dans le four et depuis Pavarotti
Un jour, dieu demanda à Soc d'échouer et depuis Socrate
Un jour, dieu demanda qu’on distribue les cartes et toujours c’est Maria Callas
Un jour, dieu demanda à Pla de raser l'herbe et depuis Platon
Un jour, dieu demanda à Joan si elle était vierge mais tout le monde sait que Joan Baez
Encore ?
Inventez, courderécréez,
ou bien achetez ce petit livre pas cher.
Et si vous n'avez pas d'agent comme le disait la pub Hara-Kiri...
J'étais un enfant |
Blog imprimé en deux couleurs pour réduire le nombre de polluants. |
Brève de comptoir |
Plan des toilettes au dos de ce blog. |
Ne pas recongeler. |
Haïssable. (3 lettres) La solution *** Survolez-moi avec la souris *** |
Garanti sans huile de palme. |
Aucun animal n'a été maltraité pendant la rédaction de ce blog. |
Janvier 2015 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|