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Samedi 3 mai 2008 6 03 /05 /Mai /2008 03:01

Poil au tableau (2)

Richard Gotainer (2).

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Voilà.
Après ça,
http://bludog.over-blog.com/article-15738427.html
il en restait encore un peu.

De nouveau quelques pubs radio
de Richard Gotainer.

Un insecticide complètement
tombé dans l'oubli
malgré cette jolie pub.

(30'')

Dans le même genre, parlé,
Bénédicta.

(15'')

Et bien sûr,
la plus célèbre de toutes,
Belle des champs.

(29'')

Et le mambo du décalco
tout en images
qui glissent !

Cliquer sur la flèche
et attendre quelques secondes.

*

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Samedi 26 avril 2008 6 26 /04 /Avr /2008 03:01

Le quart de rouge c'est la boisson du garde rouge

Mao et Moa.

Me suis réveillé tôt l'autre jour.
Ai mis la radio tôt.
Ai redécouvert tôt un truc que j'avais complètement oublié
et qu'on ne doit plus oser programmer la journée.
A dû contribuer tôt à ma formation calembouresque.

Une chanson de Nino Ferrer.
Mao et Moa.

3'22

*

Si je suis rapide et rusé
Quand je fais mes Mao croisés
Me disait un esquiMao
C'est grâce à la pensée de Mao
S'il est vrai que plaisir d'amour
Ne dure qu'un Maoment très court
Mao je dis qu'un bon Maoment
Vaut bien deux cornes d'éléphants

C'est Mao que j'suis pour Mao contre Liou Chao-Chi
J'ai mon bréviaire de révolutionnaire
Dans tous les bouges Moa je bois des quarts de rouge
Le quart de rouge c'est la boisson du garde rouge

Lorsque je dîne avec Thérèse
Je prends des œufs durs Maonaises
Thérèse prend un gelati Maotta
Le chat prend du Maou pour les chats
Le dimanche en autoMaobile
On va visiter la Sicile
Ses plages et ses Maonuments
Quand on rentre on est bien content

C'est Mao que j'suis pour Mao contre Liou Chao-Chi
J'ai mon bréviaire de révolutionnaire
Dans tous les bouges Moa je bois des quarts de rouge
Le quart de rouge c'est la boisson du garde rouge

Si j'aime bien la marche à pied
C'est à cause de la société
Protectrice des aniMao
Qui protège mon chaMao
Si la chromolithographie
Engendre la Maonotonie
La Maontagne ça a du bon
Et c'est normal car c'est norMaond
Monsieur Maorice a été Maordu
Par un guitariste barbu
Monsieur Maorice est Maoribond
Gai gai dansons le rigodon

Si je suis rapide et rusé
Quand je fais mes Mao croisés

*

" Le quart de rouge c'est la boisson du garde rouge ".

Il fallait l'oser, celle-là.

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Samedi 9 février 2008 6 09 /02 /Fév /2008 03:03

Poil au tableau

Richard Gotainer.

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Richard Gotainer est né à Paris le 30 mars 1948.
Sa jeunesse se construit autour du théâtre,
de la musique (c’est un fan des Beatles)
et des mots.
Un bac de philo et quelques années de fac en plus,
il trouve un travail en agence pub.

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Il est rapidement viré,
mais repart avec un chèque
et un collaborateur, Jacques Gaudillat.
Ensemble ils fondent Gatkess Productions
et décrochent des budgets importants
dont "Vittel" ("Buvez, éliminez"),
"Infinitif",
"Banga" ("Y'a des fruits, y'a de l'eau"),
"Danette" ("On se lève tous pour Danette"),
ou "Belle des champs" ("Tu baguenaudes dans les pâturages ...")
dont il fallut en catastrophe
rallonger la chanson
et la sortir en 45 tours,
les gens demandant aux disquaires
la musique originale de la pub "Belle des champs".

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Aussi célèbres que furent ses publicités,
c'est surtout la chanson de variété
qui l'a fait connaître
à partir de 1980
du grand public français.
C'est en studio que Gotainer rencontre Claude Engel.
Le début d’une production musicale prolifique.
Durant plusieurs années,
ses chansons aux arrangements
loufoques et facétieux,
sont abonnées
aux premières places des charts.
"Primitif" (à l'origine la pub "Infinitif"),
"Poil au tableau",
"Le Sampa",
"La ballade de l'obsédé",
"Le mambo du décalco",
"Femmes à lunettes",
"Chipie"
et "Le Youki"
comptent parmi ses chansons les plus connues.
Poussé par Coluche à faire sa première partie,
il monte pour la première fois sur scène en qualité de chanteur,
au Café de la Gare.

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Avec nettement moins de succès
il a écrit et tourné pour le grand écran
"Rendez-vous au tas de sable".

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Il s’est également essayé à la "clownerie symphonique" en 1999
avec une comédie musicale coécrite avec Eric Kristy,
« La Goutte au Pépère ».

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Bon.
Et maintenant,
et c'est pour ça qu'on est là,
après la théorie, la pratique.

Quelques pubs radio
de Maître Gotainer.
C'était l'époque où à côté du transistor
on s'exclamait soudain
" Écoute, c'est la pub, tu sais la pub ! Écoute, écoute ! "
Et c'était 15 ou 30 secondes de cinéma à la radio.

Quatre pubs déjantées pour Raid
avec LE Jacky
de Récré A2 et des Enfants du Rock.

(30'')

(29'')

(28'')

(29'')

Une amusante pub pour le Printemps

(32'')

Deux pour Scotch Magic

(16'')

(16'')

Et pour terminer quatre pubs pour Phildar

(31'')

(32'')

(31'')

Et le Youki
tout en images
qui bougent !

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Mardi 29 janvier 2008 2 29 /01 /Jan /2008 01:01

L'ami public n°1

Il a 80 ans aujourd'hui.

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Le nom de Pierre Tchernia
(c'est bizarre, enfant, et pendant des années,
je lisais toujours "Pierre Technirama",
j'ai mis longtemps avant de me rendre compte de mon erreur...),
pour l'état civil Pierre Tcherniakowski,
fils d'un immigré russe et d'une couturière francaise,
évoque toujours pour moi
des émissions pour enfants, des dessins animés,
des films à l'humour raffiné,
des collaborations à des scénarios,
toujours dans la finesse,
le bon goût, l'élégance,
sans une once de vulgarité ou de grossièreté.

Pierre Tchernia intègre d'abord
l'École technique de photo et de cinématographie,
puis l'IDHEC.
Après cette formation, il entre à la télévision française
où il participe à la création du Journal télévisé en 1949.

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Puis il crée des émissions de variétés telles que
"La clé des champs", ou "La boîte à sel".
Ce sera ensuite l'émission
qui lui donnera le surnom
qui lui restera longtemps collé à la peau,
"L'ami public n°1",
une émission proposant des extraits de films de Walt Disney.
Ensuite, pendant de longues années,
ce sera "Monsieur Cinéma"
qu'il présentera aux côtés de Jacques Rouland.

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Ce qui ne l'empêchera pas en amateur passionné et éclairé
de se constituer une belle collection de jouets-automates.

Parallèlement à ses activités de présentateur,
il fera également une carrière fort honorable dans les films.
D'abord des collaborations avec Robert Dhéry,
puis de petits rôles dans
"La guerre des boutons", "Carambolages", "Allez France" et d'autres.
Il collaborera à de nombreux scénarios,
"La belle américaine", " Le petit baigneur", etc.
ainsi qu'avec René Goscinny
aux dessins animés de long métrage d'Astérix et de Lucky Luke.
Et sa voix fait merveille en tant que narrateur de dessins animés.

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(ici avec Goscinny et Morris faisant semblant de travailler)

Il réalisera lui-même "Le viager", un petit bijou,
avec son acteur fétiche Michel Serrault,

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ainsi que "Les Gaspards", ou "La gueule de l'autre" pour le cinéma.
Ce qui ne l'empêchera pas de travailler pour la télévision
avec surtout des adaptations de Marcel Aymé,
"Le passe-muraille", "La grâce" ou encore "Héloïse".

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Ça sent un peu le bâclé, mais j'ai dû faire vite,
je n'allais pas lui souhaiter son anniversaire demain.
J'espère qu'on sent quand même que je l'aime beaucoup,
Pierre Tchernia.

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Dimanche 27 janvier 2008 7 27 /01 /Jan /2008 01:01

Le petit train interlude (Le retour de le) (2)

Le petit train interlude, version papier (2).

On en avait déjà parlé.
http://bludog.over-blog.com/article-10895732.html

Mais c'était la version télé.

Vu son succès,
le petit train interlude eut également les honneurs
de différents magazines.
Personnellement je l'ai connu dans Pilote (encore...).

Voici quelques autres exemples de rébus
tels qu'ils parurent à l'époque.

10.

11.

12.

La solution
*** Survolez-moi avec la souris ***

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Dimanche 20 janvier 2008 7 20 /01 /Jan /2008 01:01

Le petit train interlude (Le retour de le) (1)

Le petit train interlude, version papier (1).

On en avait déjà parlé.
http://bludog.over-blog.com/article-10895732.html

Mais c'était la version télé.

Vu son succès,
le petit train interlude eut également les honneurs
de différents magazines.
Personnellement je l'ai connu dans Pilote (encore...).

Voici quelques exemples de rébus
tels qu'ils parurent à l'époque.

La solution
*** Survolez-moi avec la souris ***

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Samedi 10 novembre 2007 6 10 /11 /Nov /2007 01:01

Les fausses Martine

Les Martine.

Ce n'est plus la peine de la présenter.
Créée pour les éditions Casterman en 1954
par Gilbert Delahaye (auteur) et Marcel Marlier (illustrateur).
Reprise pour le texte en 1997 par Jean-Louis Marlier (le fils de Marcel).
Un dessin détaillé d'un réalisme naïf.
Chaque album présente une activité.
Un tirage mondial d'environ 85 000 000 d'exemplaires.
Deux jeux pour PC ont même paru.

Depuis plus de 50 ans, grand succès chez les petites filles.
Quand j'étais petit, j'étais un petit garçon, donc ce n'est pas ma madeleine.

La foule intriguée:
" Mais alors, pourquoi tu en parles ? "

Tout simplement parce que j'avais vu sur internet
des parodies de couvertures de Martine.
J'aime ça, les parodies.
Et que je me demandais s'il n'existait pas
un générateur de couvertures quelque part.
Et je n'ai pas dû chercher longtemps pour le trouver.
Ici.
http://martine.logeek.com

Il y a même un hit-parade des couvertures postées.
Il y en a de très noires, de très méchantes, de mauvais goût.
Mes préférées.

En voici quelques unes.
Il y en a de nouvelles presque chaque jour.

C'est à la portée de tout le monde.
C'est tout simple à faire.
Pour des cartes de voeux, charrier une copine qui s'appelle Martine,
simplement pour le plaisir, etc.
http://martine.logeek.com

Ah, un dernier détail.
Un scoop.
Ceci n'est pas un fake.
C'est un ouvrage qui existe vraiment.
J'en ai vu un présentoir plein dans une librairie la semaine dernière.

Martine est alsacienne.
Le temps d'un livre CD.
"Martine, la nuit de Noël".

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Vendredi 21 septembre 2007 5 21 /09 /Sep /2007 01:01

Y'a ciné !

Géo et cathé.

Ce que vous voyez là c'est un projecteur Camérafix.
Seuls les plus âgés d'entre vous ont dû connaître ça.

C'est ce qu'on appelle un projecteur de vues fixes.
C'est comme des diapositives,
sauf que les images ne sont pas dans des passe-vues,
mais en rouleau sur un film de 35 mm.
Ces images pouvaient être des dessins ou des photos.
Ces films étaient rangés
dans des petites boîtes en carton, en métal ou en plastique.

Beaucoup d'enfants de mon âge
ont dû connaître leurs premiers émois cinématographiques
grâce à cette petite boîte métallique noire.
Qui chauffait beaucoup
et répandait une odeur caractérstique de métal chauffé
pendant son fonctionnement
(madeleine...).

Un fonctionnement basique.
Une ampoule, une lentille,
et entre les deux le rouleau de film que le projectionniste faisait avancer à la main.

Le projectionniste, parlons-en.
C'était le plus souvent un enseignant.
Dès qu'il sortait discrètement l'appareil de l'armoire,
c'était un cri dans la salle de classe:

" Y'a ciné ! ".

Il s'en servait pour rendre
l'histoire, la géographie ou les sciences plus intéressantes.

Ça a dû marcher pour certains.
Moi je passais mon temps à regarder le projecteur.
Le but escompté n'était pas atteint.

Ces bobines éducatives étaient parfois achetées par l'école.
Mais les industriels et les lobbies en tous genres
ont vite compris l'intérêt qu'ils pouvaient tirer en fournissant
ces petits films gracieusement aux écoles.
Ainsi on avait droit à des petits films sur la voiture offerts par Renault,
sur le caoutchouc par Hutchinson,
sur la banque par la Caisse d'Épargne ou le Crédit Lyonnais, etc.
Mais plus surprenant,
et ça doit faire hérisser les cheveux
sur la tête des éducateurs du XXIe siècle,
j'ai eu droit entre autres aux vins de Champagne (si,si),
et à la propagande Kronenbourg
qui nous expliquait les bienfaits de la bière, etc.
(la bière, une boisson saine...)

Quelques extraits de cette bobine:

Si quelqu'un veut un jour
tenter l'expérience en présence d'un inspecteur,
je tiens tout le matériel à disposition...

Le projectionniste, ce pouvait également être un curé qui,
pour rendre son enseignement religieux plus attrayant,
nous projettait sur l'écran
des vues pour agrémenter ses explications catéchistiques
(je ne savais pas que ce mot existait).
La dernière onction en film fixe, je conseille.

Et si on était bien sages, on avait droit à quelques bobines récréatives.
Des histoires de Walt Disney,
ou d'un héros de BD de l'époque,
et surtout, surtout, les aventures de Tintin.

Et là, c'était le bonheur.
Un oeil sur le projecteur, l'autre sur l'écran.
Si, si, on y arrive.

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Samedi 15 septembre 2007 6 15 /09 /Sep /2007 01:01

Il y a 50 ans naissait...

...le cadeau Bonux.

Ce fut un temps la lessive aux 1000 cadeaux.

C'est en 1957 que fut lancée par Procter and Gambler la lessive Bonus (oui, avec un S).
Mais déjà un an plus tard, en 1958, elle adoptera son nom actuel, Bonux.

Son directeur des achats, Michel Sourdat, sera chargé de trouver ces primes.
Chaque année une centaine de cadeaux différents
seront distribués dans les paquets de lessive.
Ils seront destinés en premier lieu aux enfants (j'en fus)
qui pousseront les mamans aux achats,
mais également aux ménagères,
et même aux maris;
toute la famille fut gâtée.

Pour les enfants des jouets en plastique (déjà à l'époque fantastique),

des voitures

des avions

des chariots

des jeux de société

des taquins
etc.

Une revue de BD a même vu le jour,
également glissée dans les paquets de lessive,
dont le héros fut Bonux Boy,
dessiné par Jijé (Joseph Gillain) sous le pseudonyme de Benoît.

On faisait surtout le bonheur des mamans
avec des articles de ménage
(c'était encore la belle époque des femmes soumises... ahem...)
(j'entends déjà les godillots des chiennes de garde),

des moules à tartelettes

une salière

un mouchoir

des couteaux, des décapsuleurs, des tire-bouchons.

Les papas n'étaient pas oubliés non plus avec

des boutons de manchette

un cadenas

des lames de rasoir

des cartes des vins ou des fromages

ou encore des cendriers.

Mais bien sûr,
"Le premier cadeau Bonux, c'est la blancheur".
"L'examen fenêtre" le prouve.
Et ma préférée, la plus grosse,
"Un blanc si blanc qu'on dirait une couleur".

Bonux était une lessive pour laver à la main.
Le lave-linge n'était pas encore répandu
et les ménagères passaient chaque semaine
une journée à faire bouillir leur linge.
Ce n'est qu'en 1976 qu'est lancé Bonux Machine,
dans un baril,

ce qui permet également d'offrir des cadeaux plus gros.

Le cadeau était si célèbre,
que des expressions du genre
"Hé, t'as eu ton permis dans un paquet de Bonux ?"
virent le jour.

Revirement marketing, le cadeau disparaîtra au début des années 90.
(Glup).
Pour réapparaître en 2000.
(Aaaah...).

À l'occasion de son cinquantième anniversaire,
la marque propose un nouveau cadeau.
Dans chaque paquet de lessive
on trouvera un bon qui permettra de télécharger une chanson.
Un peu tristounet à mon goût.
" O tempora, o mores ".

Plus intéressant.
Pour fêter les cinquantes ans du cadobonux,
une expo
à La Blanchisserie, 24, rue d'Aguesseau, à Boulogne Billancourt.
Du 12 au 18 septembre 2007...
Ça n'aurait pas pu être un peu plus long, monsieur Bonux ?
Une prolongation en guise de cadeau, hein ?

PS:
Une rumeur insistante circule depuis quelques semaines.
Le publicitaire qui s'occupait de la marque à ses débuts aurait été papa Sarkozy.
Et il se serait servi de son fils Nicolas pour une campagne de pub.
Mais cette rumeur est formellement démentie par Bonux.
On peut toujours rêver de retrouver une vieille pub...
Ce serait un sacré cadeau.

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Jeudi 13 septembre 2007 4 13 /09 /Sep /2007 01:01

Pacman (bonus)

William chez Dorothée.

"Je vous parle d'un temps,
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaîîîîîîîîîtrrrrrre".

C'était l'époque où William Leymergie s'appelait Willy,
ne se levait pas encore tôt,
et travaillait chez Dorothée.
Bonus à l'article de dimanche dernier.